lundi 5 mars 2012

6 mois de plus, au minimum !

Non, ce n'est pas un ratage technique ou je republierai accidentellement le message précédent ou un brouillon avec un titre un peu différent : c'est bien la suite, quelques semaines après cette fameuse opération tant attendu qui ne m'a finalement rapporté que 2 implants, mais qui  semblent suffisants à la mise en place d'une prothèse fixe sur ma mâchoire inférieur . . . 
Mais alors pourquoi les six mois du titre ? Parce que c'est le temps de cicatrisation estimé après analyse de l'os maxillaire qui a encaissé ces deux bout de ferraille, et donc pas de dentier avant ces fameux 6 mois, voire plus si excès de réactivité comme déjà constaté ces derniers temps !
Bah, encor une belle démonstration de patience en perspective avant de commencer le dressage du dentier et de retrouver le plaisir de sourire sans basculer dans le filme d'horreur . Bon, ben là, il faut commencer à se trouver de saines occupations pour éviter de devenir chèvre, parce que ça commence à sentir le 3ème été lorrain d'affilé, et ça, c'est une punition que je crois pas avoir mérité, bordel !
Un petit coup de main pour dépoussiérer  un site web à vocation humanitaire : ça occupe pas mal et ça me replonge les mains dans le cyber-cambouis du web. Je détaillerai un peu le sujet quand le résultat me semblera présentable, et c'est loin d'être le cas pour l'instant : mon rythme de travaille n'est pas encor sorti de la catégorie "ridicule" mais je m’acharne régulièrement et j'ai un volume respectable de boulot sur ce site, qui finira sans doute en blog, si tout se passe bien .
Bon, j'ai aussi retrouvé suffisamment d'autonomie pour me permettre de longs week end en vadrouille, un peu partout dans le pays voir chez de proches voisins, du  genre "retour à Bruxelles", par exemple . . . 
Mais sans les dents, c'est quand même toujours un peu folklorique de demander son chemin à un inconnu, de se trouver un menu compatible dans un resto, ou de se trouver un hôtel avec un mixer en libre service . Ce genre de situation ne me fait plus peur à Paris, alors ça ne devrait plus m’empêcher de voir un tout petit peu plus loin pour passer à la phase intensive de la rééducation de mon cerveau au niveau culturel et sociale : l'idée de base étant, encor et toujours, d'essayer de reprendre le boulot avant la fin de l'année. Un mi temps thérapeutique pour commencer, et évaluer calmement les dégâts en situation professionnelle , puis une reprise un peu plus consistante, dès qu'on aura précisément ciblé les problèmes, et trouver le moyen de les contourner, parce que c'est en sciant que Léonard De Vinci ! Relisez cette dernière phrase à voix haute si elle vous parait manquer de sens, de fin ou d'humour . . .