lundi 10 février 2020

Un métro nommé "Lumière Monplaisir"



Salut Lyon, c'est chouette chez vous !

Je connais très peu Lyon et ça fait un looooooong moment que je n'étais pas venu ! J'en avais gardé une très belle impression, et en une seul journée elle s'est encore amélioré . . . Chuis là pour 5 jours : ça promet !
Bon, ça fait déjà plus de trois phrases qui n'ont rien à voir un certain film, déjà lourdement évoqué  sur ce même blog alors j'ai mon quotas de " - Mais non, ça ne tourne pas à l'obsession totale !? "
Donc, je peux me lâcher et revenir paisiblement à l'unique sujet récurrent de mes 10 derniers postes : On enchaine encore un autre festival avec notre improbable documentaire sur les visages en miettes  ! ! !

Pour ceux qui auraient raté des épisodes, c'est bien le FIFH qui nous amène à Lyon, Jenny et moi, et qui va (attention spoiler !) me servir de  pure  prétexte pour raconter une fois de plus à quel point ce documentaire est magique . . .
Et pour ceux qui ont tout suivi, mais qui ont quand même l'impression d'avoir raté un truc depuis le dernier post : la diffusion de décembre qui devait avoir lieu sur Paris, à Pompidou a finalement été reporté au mois d'avril pour cause de grève général de Noel  ! La ville lumière attendra, et c'est la ville des frère Lumière qui va lui griller la priorité sur l'avant première française, mardi après midi ( à 14h, au Ciné Lumière des Terreaux, il n'est jamais trop tard pour faire un peu de promo ; ° )

Alors au départ, on s'était dit qu'on viendrait un peu en avance pour profiter du festival en simple spectateur, voir les films des collègues et éventuellement discuter avec eux après. On s'est trouvé un chouette point de chute juste à côté de l'institut Lumière, qui semblait être l'un des point de rencontre du festival . Bon, y a deux ou trois trucs à revoir coté com sur ce festoch, puisqu'il n'y a qu'une seul projection à l'institut, le lendemain de notre départ . . . Y a pas de questions réponse avec le public après les filmes non plus ! Et une seul projection le dimanche, mais on a quand même bien fait d'arriver le samedi après midi tous les deux.  En effet, par un heureux hasard, un ami de très (très très) longue date passait en ville ce soir là, avec un groupe de musique sud américaine qui vaut très largement le détour : Yapunto ! Le concert a eut lieu au Périscope, qui a très vite imprimé l'ambiance sub-tropicale des rythmes latino les plus dansants qu'on puisse imaginer. Un pur moment de bonheur . . .
Jenny a  profité de l'après midi pour rencontrer l'une de ses fan qui la suit sur les réseaux sociaux depuis Lyon, et depuis un bon moment apparemment. On devrait également accueillir ce soir une autre de ses 'abonnées' qui est, comme nous, membre du cercle du sourir asymétrique, gravement brûlée par un arc électrique . Elle vient de Montpellier pour voir notre film et on espère qu'il pourra l'aider un peu à reconstruir une image bien esquinté . . .

En parlant de Montpellier, dimanche on a aussi croisé mon " petit frère ", accompagné de ma (très) belle soeur  et de leur gigantesque bébé, le bien nommé Clément, toujours aussi zen et souriant ! Déjeuner  avec eux au très cool café Lumière, a côté de l'institut, avant qu'ils ne repartent vers Le Crès, sans avoir vu le film, projeté en semaine et en pleine après midi : c'est pas l'idéal pour ceux qui bossent !

Et en toute logique granstefesque, on finit par expliquer le titre de cette note à tous ceux qui ne connaissent pas Lyon : c'est tout simplement le nom de la station de métro qui dessert l'institut et notre fabuleux  Airbnb . Mais si j'ai choisi ça en guise de titre, c'est parce qu'on s'est dit avec Jenny que  l'association des deux termes résume très bien ce que ce film a changé  dans nos vies, et probablement aussi dans celle des trois autres  fantastiques  (qui nous manquent un peu quand même !!) . En ce qui me concerne, je crois que je peux même carrément dire que me retrouver dans la Lumière n'affecte plus Monplaisir . . .